| | Registres du Ministère et demandes de don | |
| |
Auteur | Message |
---|
Vox Tenebrae MAITRE DU JEU Je suis le seul et unique à écrire l'Histoire… Date d'inscription : 28/08/2010 Écrits postés : 129
| Sujet: Registres du Ministère et demandes de don Lun 6 Sep - 11:42 | |
| Registre des créatures et des sorciers possédant des dons
∼✩∼ ✧ Créatures recensées VÉLANES | VAMPIRES | LYCANS | Celeste A. De Beaumont (PV) H. Aleksej Wheeler
| William Von Beck (PV) M. Junalie Kleins-Lond
| Karl S. Mead (PV) S. Pevensies Broderick Edwige L. Desmon-Fields | <✧ Sorciers possédant un don ANIMAGUS | FOURCHELANGUE | METAMORPHOMAGE | Tyler J. Carlson — Loup Noir/Sinistros Anya K. Jackson (PV) — Corbeau Alexandreï Romanov (PV) — Renard Suriah Weaver — Python Blanc Cypher H. Evil-Cross — Lémurien Keon S. Wade Hilaire Chadwick FERMÉ
| Demitri I. Pouchkine (PV) FERMÉ | Zadiste H. Vaughan (PV) Jezabel O. Valentyne
| OCCLUMENS | LEGILIMENS | VOYANTS | Deena J. Firestone (PV) Zeyn-Lenox Daybe
| Persée A. Spencer (PV) Zeyn-Lenox Daybe
| Kayla L. Woodsen Rémielle S. Black Serenity J. O'Deal (PV) | *** Si vous souhaitez obtenir un don, merci de poster à la suite de ce topic, avec ce formulaire : (les descriptions des dons et créatures se trouvant dans ce topic )(à savoir que la catégorie Fourchelangue, pour une raison évidente, est fermée ) - Code:
-
[b]NOM et PRENOM :[/b] [b]AGE du personnage : [/b] [b]DON souhaité :[/b] [b]MOTIVATIONS :[/b] [b]EXEMPLE DE RP : [/b] |
| | | H. Aleksej Wheeler Date d'inscription : 28/11/2010 Écrits postés : 53 Citation : « Je suis le coeur brisé de Jack. » Année d'étude / Job : Sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 17:43 | |
| NOM et PRENOM : H. Aleksej Wheeler AGE du personnage : Dix-neuf ans DON souhaité : Vélane (Veela pour les hommes) MOTIVATIONS : Tout d'abord je trouve que le côté Vélane, en général, sur les forums HP n'est pas assez exploité alors que je trouve personnellement que c'est un don plutôt intéressant à jouer (sans tomber dans les stéréotypes bien sûr) mais le côté Veela l'es encore moins. De plus je trouve que le fait d'être Vélane donne un côté maudit et j'aime jouer les personnages tourmentés et frappé d'une malédiction. J'ai d'ailleurs déjà joué un Veela (malheureusement pas assez longtemps à mon goût T-T), voilà la fiche de ce dernier comme exemple de RP. EXEMPLE DE RP :
- Spoiler:
Trois heures et vingt-quatre minutes. Du matin bien évidement. Assis sur le rebord de sa fenêtre, les pieds dans le vide et la tête dans les étoiles, Ezechiel cherchait le sommeil sans réels résultats concluant il fallait bien le dire. Une cigarette dans la main droite, il aspira une dernière bouffée avant de faire tomber la cendre qui tourbillonna un instant dans une brise glaciale et disparut quelques secondes plus tard. Le flot de fumée qui s'échappa de sa bouche subit le même sort mais toutes ses arabesques aussi bien magnifiques qu'éphémères avait le don de l'ennuyer. Écrasant son mégot sur le rebord de la fenêtre, il balança le reste à l'extérieur et rentra avec autant de discrétion que possible. Sa chambre était plongée dans le noir mais la lune éclairait une assez grande partie pour deviner le grand lit deux places qui trônait en plein milieu ainsi que les commodes, armoire et autres meubles dont il ne se servait presque jamais mis à part pour entreposer des tas de choses inutiles. Même si il venait de fêter ses dix-neuf ans, il y a quelques jours, sa chambre ressemblait et ressemblerait sûrement toujours autant à une chambre de gamin avec un tas de trucs accrochés sur les murs tels que des posters datant d'au moins cinq ou six ans, d'anciennes photos ou des lettres qu'il aimait relire. Et surtout un bazar monstre qui régnait en maître mais qui semblait ne pas déranger l'hôte. Zigzaguant entre les affaires posées sur le sol, il sortit de sa chambre et à tâtons, se dirigea vers la chambre de ses parents. Il répétait ce petit manège tous les soirs quand son père était partit en déplacement. Sa mère était une telle tête de linotte qu’elle avait toujours besoin d’être surveillée. Habitué des lieux, il poussa la première porte à sa gauche et pénétra dans la chambre silencieuse et éclairée elle aussi par la lune. Les fenêtres étaient grandes ouvertes et un soupir s'échappa des lèvres du jeune homme. Sa mère adorait regarder les étoiles avant de dormir mais comme elle était tellement étourdie elle ne fermait presque jamais ses fenêtres avant de se coucher. Heureusement qu'il ne neigeait pas souvent en cette période de l'année sous peine de la retrouver complètement congelée sous une dizaine de centimètres de poudre blanche. Après avoir refermé la baie, d'une démarche toujours silencieuse, il s'approcha du lit de sa mère et s'y accroupi. Jamais elle n'avait été aussi belle que quand elle dormait. Tendrement, comme si c'était elle l'enfant et non le contraire, il remit une mèche blonde derrière son visage. On aurait dit un ange. On aurait put la croire faite de marbre, une réelle statue grecque. Gabrielle Delacour-Malefoy. Un prénom d’ange pour une femme qui les adulent. La preuve en est avec son fils aîné. « Ezechiel » Il n’y a qu’une fanatique religieuse pour appeler son enfant comme ça. Pour le reste « Asmodé Malefoy » tout lui vient de son père. Mais là n’est pas le sujet. E. resta encore quelques instants à contempler le visage paisible de sa mère. Ah, sa mère. La première femme dont il était tombé amoureux. La première dans son cœur à jamais, après tout Narcissa était bien la fille à son papa et bien lui il était le fils à sa maman. Le digne fils de sa mère même. Il avait hérité de sa capacité à écouter les autres, de son sérieux au travail, de son caractère un peu lunatique mais aussi de ces grands yeux bleus et de son côté vélane. Alors qu’il allait remettre une autre mèche qui barrait son angélique visage, Gabrielle ouvrit lentement les yeux et esquissa un sourire quand elle reconnu son fils dans la pénombre. « Ezechiel ? Que fais-tu là ? » « Vous aviez encore laissé votre fenêtre ouverte mère. » « Ah oui les étoiles. Orion était magnifique ce soir. » Puis elle referma les yeux et replongea presque immédiatement dans le sommeil. Le jeune homme se dit qu’ils était peut-être temps de la laisser en paix. Sur la pointe des pieds il quitta la chambre et retourna dans la sienne. Là-bas il ramassa quelques affaires à terre et les enfila sans vraiment faire attention car Ezechiel était de ces hommes qui, peut importe ce qu’il porte, le porte avec classe. Un dernier coup d’œil dans le miroir pour replacer une mèche rebelle et il était fin prêt à partir. Il passa sa main le long de mâchoire où la barbe de quelques jours se faisait sentir et sortit enfin de sa chambre. Il descendit l’escalier à pas de loup et en un tour de main fut dehors. La brise fraîche de la nuit lui éclaircissait les idées mais ne faisait pas pour autant disparaître la cause de son insomnie. Il voulait arrêter d’y penser, il voulait qu’elle cesse d’hanter ses nuits, il voulait cesser de l’aimer une bonne fois pour toute. Il chercha frénétiquement son paquet de cigarettes et quelques instants plus tard la nicotine qui se répandait dans son organisme le calma instantanément. Mais même avec ce calmant, son visage ne cessait de le hanter. A chaque fois qu’il fermait les yeux, il voyait son sourire, chaque bruit qui résonnait dans la rue lui faisait penser à son rire et dès qu’il regardait les étoiles il pensait à ses yeux. Un soupir s’échappa de ses lèvres rosées et ses pas commencèrent à l’emmener dans un endroit qu’il connaissait bien. Chaque fois qu’il avait des insomnies, il se rendait dans ce lieu de débauche, séduisait une fille pour la nuit, l’aimait de tout son cœur et pourtant la quittait au petit matin sans aucuns remords. Il n’en avait aucun, n’en aurait jamais pour ce genre de filles qui ne faisait que traverser sa vie. Il les aimait, certes le temps d’une seule nuit, mais il avait déjà goûté à la relation longue durée et tout ce qu’il pouvait en tirer c’est qu’il en souffrait encore aujourd’hui. C’est un peu grâce à cette histoire qui s’est mal finie qu’il est devenu l’Ezechiel que tout le monde connaît à présent. Le charmeur, le beau, l’ensorcelant, le dangereux Ezechiel. Au début, le jeune Malefoy était quelqu’un de timide, plutôt renfermé, il ne voulait pas s’approcher des autres, il n’aimait pas son don car il pensait que si les filles l’approchait ce n’était pas pour lui mais simplement pour l’aura qu’il dégageait. Et puis tout changea. Elle entra dans sa vie et il sut tout de suite qu’elle était différente. Elle se fichait des apparences, des « on dit » ou des rumeurs. Elle l’avait accepté comme il était et c’est presque naturellement qu’ils se sont mis ensembles. Pendant presque un an. C’était le bonheur pour lui, le romantique à souhait d’avoir une copine comme elle. Tout était beau, tout était rose. Oui, tout était. Depuis le début il avait compris que c’était à un autre homme que le cœur de la belle appartenait mais il avait essayé, il s’était fourvoyé. Tout était de sa faute après tout. Et après cette histoire, il ne fut plus jamais le même. Il s’était juré de ne plus s’attacher à une seule personne mais d’aimer toutes les femmes de cette Terre jusqu’au jour sacré de son mariage avec une femme de sang-pur que son père lui aura choisie comme épouse. A présent il était devenu un autre homme. Le demi-veela qui use et abuse de ses charmes, qui charme toutes les filles, qui les aiment sincèrement mais qui a un réel problème d’attachement. Le demi-veela jaloux de tous les hommes, violent et impulsif. Le demi-veela au cœur brisé et dont l’amour pour une femme le consume chaque jour un peu plus.
|
| | | Suriah Weaver ♠ I really want you ~ Date d'inscription : 29/11/2010 Écrits postés : 88 Citation : And I wish I was a comet to crash at your feet ♥ Mood : bad Année d'étude / Job : septieme année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 21:36 | |
| NOM et PRENOM : Suriah Weaver AGE du personnage : 21 ans DON souhaité : animagus : python blanc (aussi appelé Serpent Lunaire) MOTIVATIONS : j'ai trouvé un animal qui correspond très bien à mon personnage et depuis le temps que je le voulais ce don EXEMPLE DE RP : vous êtes fous de demander ça x__x vous voulez mourir noyé sous mon roman ? xD *out* - Spoiler:
Décidément, c’était de pire en pire. Quel crétin. Misha s’en voulait d’être venu. Il aurait dut rester à sa place pour une fois, ne pas chercher à jouer avec le feu (aha le jeu de mot ~), ne pas chercher à voir Noam. Car même s’il avait du mal à se l’avouer, c’était pourtant bel et bien pour ça qu’il était venu se soir. Dans l’espoir de voir l’élève de terre dans son plus bel apparat, même s’il n’avait ne serait-ce qu’imaginer que la soirée tournerait ainsi. Il avait encore le goût de ses lèvres sur les siennes, mêlé au champagne. Encore heureux qu’il s’était enfui. Parce que s’il ne l’avait pas fait, il serait encore là, en train de l’embrasser comme un alcoolique qui s’accroche à sa bouteille. Maintenant qu’il y avait goûté, il lui semblait impossible d’y renoncer…et pourtant il le devait. Reposant sa coupe de champagne vide sur la table, un nouveau frisson le parcourut lorsqu’il sentit la main de Noam sur son épaule. Il sut que c’était la sienne sans même se retourner. Ce toucher… ce simple toucher lui poussait au bord d’un gouffre, il avait cette désagréable impression de tomber. « Pardonne-moi… Je ne voulais pas tout gâcher, ni même te pousser à partir… » Ce n’était pas toi, abruti ! Ce n’est pas toi qui s’est penché pour embrasser l’autre… Le cœur du profane se serra quand il se rendit compte que Noam se jetait la pierre. Pensait-il vraiment que c’était sa faute ? Que Misha était partit parce qu’il avait dérapé ? N’importe quoi. C’était de sa faute à lui, et le jeune homme s’en voulait à mort, sans pour autant pouvoir dire quoique ce soit. Le souffle lui manquait… « Je sais que tout ça était une mauvaise idée et j’espère que tu m’excuseras… » Si l’instant n’avait pas été si douloureux, Misha en aurait presque rit. Une mauvaise idée… oui, l’embrasser avait été une mauvaise idée. Il ne fallait pas qu’il sache les sentiments que le profane nourrissait à son égard… comme s’il pouvait espérer quoique ce soit avec Noam. Lui, un gosse de 17 ans. Comme si Noam voulait de lui. Aller, mec, t’es un homme ou pas ? Reprends toi, calmes ton cœur, ce n’est rien tout ça. Juste une soirée foireuse où tu as foutu un vent à la personne que tu aimais le plus au monde. Franchement… c’est rien. « Si tu préfères partir, je comprendrais mais… si tu veux visiter un peu ma Tour, puisque ce soir elle est vide, c’est vraiment la meilleure occasion. Mais tu n’es pas obligé d’accepter... en fait, je préfère te laisser réfléchir seul, comme ça si tu veux partir, tu n’auras même pas d’excuses à me donner, je serais déjà parti. En revanche si ça te tente, je t’attendrai à l’entrée de ma Tour. Il te suffit d’aller à l’Ouest et c’est l’escalier qui est recouvert de végétation, tu verras, il est facile à trouver. » Et avant que le profane n’ait put répondre quoique ce soit, Noam s’éclipsait déjà. Misha avait à peine compris un mot sur deux à ce que l’élève de terre lui avait dit, trop occuper à admirer ses lèvres bouger, si attirantes, si sensuelles… Merde, où allait-il ? Qu’avait-il dit ?!? Tour, visiter, occasion, accepter, réfléchir, seule, partir, donner, escalier…. Merde merde merde. Fallait reconstituer les phrases et c’était pas du gâteau. Les yeux rivés sur sa silhouette qui sortait de la salle, Misha sentit un immense vide en lui dès que cette dernière disparue et son cœur loupa un battement. Il s’était senti tellement étrange en présence de l’élève… Pensait-il vraiment que c’était sa faute ? Tout ça ne pouvait pas être un jeu. Ça allait trop loin, ça semblait trop sincère. Misha avait toujours eut horreur de se faire des illusions… Il s’en était sans doute trop fait auparavant, la vie lui avait rapidement démontré que ça ne servait à rien. Mieux valait s’en défaire. Noam ne l’aimait pas. C’était impossible, point barre. Pas besoin de polémiquer trente heures là dessus… Mais alors à quoi rimait ce comportement ? Il ne manquait plus que la phrase typique que l’on sortait quand on venait de se prendre un râteau par la personne qu’on aime : on reste ami, hin ? Bien sur. Mais si Noam ne l’aimait pas alors il n’y avait pas besoin de dire ça, alors pourquoi !?!? La tête lui tourna un instant sans qu’il ne sache pourquoi. Merde, voilà qu’il avait bu son verre de champagne trop vite. Les bulles lui étaient montées à la tête ou quoi ? Totalement perdu, se confondant dans des idées qui lui paraissaient toutes plus grotesques les unes que les autres, Misha ne vit pas l’élève arriver dans son dos. Il sentit juste un bras se glisser autour de ses hanches alors qu’on le retournait sans ménagement. Ce n’était évidemment pas Noam, même si l’espace d’un centième de seconde il l’avait envisagé. Non, en réalité, c’était un inconnu qui n’en était apparemment pas à son premier verre d’alcool de la soirée. Shit. Misha avait failli perdre l’équilibre alors qu’il faisait face à l’individu. « L’homme de ta vie t’a abandonné on dirait. Je peux peut-être le remplacer ? » Il eut un sourire charmant, mais le profane grimaça intérieurement. Il avait horreur d’une telle entrée en matière. Il le prenait pour quoi ? Un bon coup ? Qu’il aille se faire foutre. Et appeler Noam « l’homme de sa vie » n’était bien évidemment pas la meilleure chose à faire pour entrer dans les bonnes grâces du jeune homme. « Non merci. » Répondit-il simplement. Poli, calme. Parfaitement clair. Ça ne suffit malheureusement pas à détourner les ardeurs de son interlocuteur. « Non mais tu sais, je me fou pas de ta gueule hin, je suis gay moi aussi, je peux vraiment m’occuper de toi ce soir, t’es trooop mignon. » Fiche moi la paix, enfoiré pervers ! Avait envie de lui hurler Misha au visage, il tenta de se dégager mais l’emprise du bras autour de ses hanches l’en empêcha. Merde, merde merde et re-merde. « Je m’appelle Aleksei, mais tu peux m’appeler Alex, et toi ?. » Cette fois c’était trop. Se dégageant brusquement de son bras, Misha lâcha d’une voix glaciale : « Ecoutes moi, ton prénom j’en ai rien à foutre, je préfère encore branler le pape plutôt que de passer ma soirée avec toi, alors t’es gentil tu me lâches et tu vas aller fourrer ton appareil ailleurs que dans mon cul. » Ok, c’était un peu hard là. Misha dérapait rarement d’une telle manière, d’ordinaire il restait poli et raisonnable dans ses propos, mais le fait que le dénommé Alex ait ainsi nommé Noam mettait ses nerfs à fleur de peau. Ce n’était franchement pas le moment de l’aborder, alors qu’il cherchait à reconstituer les paroles de l’élève de terre pour comprendre ce que ce dernier attendait de lui. Putain. Tous les élèves étaient aussi chiant que lui ou il était tombé sur le plus abruti et collant de tous ? « Wowowow calmes toi l’asticot ! J’te demandais juste ton prénom c’est pas la peine de t’énerver. Je t’excite c’est ça ? (a) » Misha leva les yeux au ciel et s’écarta aussi loin que pouvait lui permettre le minuscule espace qu’il s’était fait entre les tables pour pouvoir boire son verre de champagne tranquillement. Rester calme…. Zeeeen… Et dire que quelque part Noam devait l’attendre. Pitié, si dieu existe qu’il fasse quelque chose ! « Alors, ton prénom ? » « Anaël. » Son cœur loupa un battement. Pourquoi avait-il sorti ce prénom ? Il n’avait vraiment rien d’autre à proposer que cette connerie ? Pitoyable. « Anaël ! Trop chou comme prénom, ça fait petite chose fragile, aller va je veux bien être ton prince charmant tout feu tout flamme, tu veux pas me laisser te sauver ?!? » Voyant que l’élève s’apprêtait à repartir à l’assaut Misha prit sa décision en moins de 1 secondes. Si Noam lui avait donné rendez-vous à la tour de terre, alors il allait y aller, peu importe les conséquences. Il pensait que c’était ça, mais il avait encore peur de s’être trompé… et si les mots de l’élève de terre signifiaient autre chose ? Après tout, il n’en avait entendu qu’un sur deux… il ne voulait pas que quelque part, Noam l’attende en vain, c’était trop cruel. Et puis ça serait toujours mieux que de se faire aborder par le moindre poivrot homo de la salle. Offrant à Alekseï un regard charmant, Misha lui tourna le dos et s’éclipsa dans la foule, traversant la piste de danse à grands pas. La tour de Terre. Où était-ce ? Qu’avait-il dit à ce sujet déjà ? L’ouest. C’était à gauche. Il tourna immédiatement dès la sortie de la salle. Il croisa plusieurs couples qui se bécotaient dans des coins sombres alors qu’il s’éloignait le plus discrètement possible. Et si Noam lui avait donné rendez-vous pour poursuivre ce qu’ils avaient commencé en dansant ? Misha frémit, et il ne savait si c’était de peur ou de désir. Peur que l’élève de terre ne se joue de lui…et de désir…ça faisait longtemps qu’il ne se demandait plus pourquoi. Si seulement Noam éprouvait ne serait-ce qu’un soupçon d’intérêt pour lui… Un escalier recouvert de végétaux, c’était ça ? Il se retrouva devant sans même s’en rendre compte, ignorant totalement le temps qu’il avait passé à marcher dans les dédales. Dingue, cette école était vraiment un château, ça devait être tellement dur de s’y retrouver au début. Combien de fois le profane ne s’était-il pas perdu ? La première fois, il était tombé sur Noam… ll déglutit et gravit les marches, les yeux rivés sur le sol. Ce ne fut qu’une fois arrivé en haut qu’il se rendit compte que l’élève de terre était là, adossé à un mur. Effroyablement attirant. « Bouh ! » Lâcha t’il pour briser le silence, d’une voix un peu incertaine, alors que leurs regards se croisaient. Que pouvait bien lire Noam dans le sien ? Misha se rapprocha. Quelque part, il avait l’impression d’entendre un voyant s’allumer, du genre bipbip rouge alerte générale pour signifier un danger. Car se poster si prêt de Noam était dangereux. Surtout après ce qui venait de se passer. « Excuses moi, j’ai mis du temps, un abruti m’a adressé la parole <_< Alekseï je sais pas si tu connais, il était drôlement bien torché. » Le profane eut un rire bref. Tout ce qu’il voulait, c’était détendre l’atmosphère. Il ne voulait pas que Noam se sente coupable de ce qui s’était produit tout à l’heure…
|
| | | Tyler J. Carlson " JACK THE RIPPER " Lost art of murder Date d'inscription : 04/09/2010 Écrits postés : 394 Citation : Evil is a point of view Mood : Bereaved Année d'étude / Job : Chercheur au Ministère, Prof. de Dark Arts, Directeur de Serpentard
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 22:01 | |
| Vélane pour ces messieurs... Je n'avais jamais vu ça, mais je suis fan du concept =) Je valide ton don.
Suriah > très bon exemple de rp également, je te le valide (a) |
| | | Suriah Weaver ♠ I really want you ~ Date d'inscription : 29/11/2010 Écrits postés : 88 Citation : And I wish I was a comet to crash at your feet ♥ Mood : bad Année d'étude / Job : septieme année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 22:05 | |
| |
| | | Keon S. Wade LOST SOUL ✩ Don't save me, cuz I don't care ~ Date d'inscription : 29/11/2010 Écrits postés : 189 Citation : ❝ Dis-moi tous ces mots interdits que tu n'as jamais osé prononcer ~ ❞ © Keon Mood : Broken-hearted man ~ Année d'étude / Job : Septième année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 23:19 | |
| NOM et PRENOM : Keon S. Wade AGE du personnage : Vingt ans DON souhaité : Animagus MOTIVATIONS : Avec le don de métamorphomage (j'ai hésité *out*) ce sont deux dons que j'ai déjà eu l'occasion de jouer et pour lesquels j'ai de très bons souvenirs de RP. Cependant, ça reste rare de trouver un fo' où non seulement c'est possible de jouer des personnages avec un don, mais où en plus les catégories ne sont pas encore fermées alors ayant en plus constater que ce don pourrait être (et avoir été) très utile pour le personnage que j'ai en tête, je tente ma chance EXEMPLE DE RP : Je ne savais pas lequel choisir et j'ai vu que Suriah a mis un RP qu'on a joué ensemble donc je suis en mettant la réponse qui venait juste avant la sienne - Spoiler:
Ne vous est-il jamais arrivé de ne pouvoir vous sortir quelque chose de la tête ? Ou peut-être était-ce quelqu’un ? Pour Noam, la nuance était particulièrement faible puisqu’il ne pouvait cesser d’imaginer ses lèvres capturant avidement celle de Misha. Alors que ce soit le jeune homme ou le baiser qui l’obsédait à ce point, cela revenait au même, non ? Jamais il n’avait désiré quelque chose à ce point… C’était cruel de devoir ainsi se priver du goût parfumé de ses lèvres et de leur douceur enivrante… Stop ! Il devait se concentrer à tout prix. Comment pourrait-il à nouveau le regarder en face alors qu’il fantasmait sur leur baiser en regardant leurs pieds ? C’était ridicule, il faut bien l’avouer, mais pour être honnête, il se sentait bien trop perdu pour être raisonnable. Toute sa force était concentrée dans un seul et même combat : ne pas s’emparer de ses lèvres avec cette passion ardente qui lui brûlait les veines. Une passion si puissante qu’elle était presque douloureuse… Bon sang, comment pouvait-il avoir une telle emprise sur lui... lui faire autant d’effet ? C’était inhumain, non ? Un crime, même. Le plus beau des crimes. À cette pensée, ses joues rosirent à nouveau. À croire que c’était devenu une habitude à présent, dès que le jeune homme se trouvait dans les parages. « T’en fais pas…J’ai un équilibre de merde mais t’es un super cavalier, je risque pas de tomber. Et puis je voudrai pas t’écraser les pieds. » Déstabilisé, Noam commit l’irréparable et releva les yeux vers le visage de son cavalier. Instantanément, son regard effleura ses lèvres et une douce chaleur se répandit dans tout son corps. Non, il devait pas céder. Il devait se concentrer sur les paroles de Misha. Bien qu’elles ne lui apportaient pas vraiment une bonne nouvelle… En effet, le profane n’aimait pas son idée apparemment. Gêné et déçu, l’apprenti gardien se mordit légèrement la lèvre. Pourquoi refusait-il ? Est-ce qu’il lui en voulait à ce point ? Bien sûr, il lui avait dit également qu’il était “un super cavalier”, mais toute cette tournure, ce n’était qu’une jolie façon de refuser, n’est-ce pas ? Malgré lui, une boule se forma dans sa gorge alors qu’il sentait que la situation était en train de lui échapper. À coup sûr, le désastre était proche. Et il ne savait pas encore à quel point, il avait raison… Sans qu’il n’ait pu faire le moindre geste, son cavalier s’était déjà libéré de son étreinte, le repoussant alors que son cœur ratait un battement. Non, pas ça ! non… Pourquoi ? « Excuses moi. J’ai fais une connerie (une de plus). Déjà, je n’aurais pas dut venir. » Et voilà, la sentence était enfin tombée… Misha regrettait ce qui s’était passé. Si lui ne pouvait s’empêcher de penser à l’emprise envoûtante de ce baiser, le jeune homme quant à lui regrettait même de s’être rendu à la soirée. Est-ce que ça aurait réellement pu plus mal tourner ? Il ne préférait ne pas lancer de pari. De peur que ses pires craintes ne finissent par se réaliser. C’était un véritable cauchemar… « On ferait peut-être mieux d’en rester là pour ce soir. Pardon, excuses moi. » Décidément, chaque parole prononcée était pire que la précédente et Noam avait peu à peu l’impression atroce de suffoquer… Pourtant, il respirait encore, mais l’air lui manquait tout de même. Parce que Misha était en train de le rejeter et qu’il restait planté là, incapable de dire un mot tant la douleur était intense. Au fond, peut-être que ce baiser n’était qu’un test afin de savoir ce qu’il ressentait et il avait lamentablement échoué, il avait effrayé le jeune homme et jamais plus il ne voudrait se retrouver seul avec lui. Pitié... pourvu que cet enfer s’arrête immédiatement. C’était vraiment insupportable… Pour la première fois de sa vie, l’élève de la Terre devait faire un effort surhumain afin de pas laisser une larme s’échappéer de son regard. Mais une chose était sûre, il refusait de montrer ainsi sa faiblesse. D’autant plus que cela aurait donné une raison de plus à Misha de prendre la fuite et la situation était déjà assez critique comme ça… « Si je reste, ça va encore mal tourné. C’est pas contre toi. » Le jeune homme n’osait même plus le regarder. Et à vrai dire, Noam détournait également le regard aussi souvent que possible, ne supportant plus de faire face à la réalité. Pourtant, au fond de lui il avait toujours su que ça se terminerait de cette façon mais il s’était voilé la face. Parce que c’était la première fois qu’il ressentait ça et que c’était bien trop dur à gérer pour lui. Mais à présent, les mots du jeune profane étaient clairs… Il craignait que Noam ne dérape encore et n’exprime à nouveau une passion si… démesurée. Certes, Misha avait tenté de l’épargner avec le célébrissime “ce n’est pas contre toi” c’était ce qui venait derrière le “ce n’est pas toi, c’est moi”, non ? c’était pathétique. Il était pathétique. Et il ne bougeait pas, comme un imbécile. Pourquoi restait-il là sans dire un mot ? Comment osait-il rester si passif ? Mais bordel, c’était la personne qu’il aimait qui était en train de lui filer entre les doigts ! Si il ne réagissait pas très vite, il ne pourrait même plus être son ami…
La silhouette de Misha s’éloignait déjà en direction des tables alors que Noam n’avait toujours pas bougé d’un millimètre. Il était comme paralysé par une douleur insurmontable. Parce qu’il avait beau s’y être préparé, c’était plus douloureux que tout ce qu’il avait pu imaginer… Mais il ne pouvait pas rester inactif, ni même baisser les bras. Il l’aimait. Jusque-là, il n’avait pas su se l’avouer, ni même osé le penser, mais si il ne l’aimait pas alors d’où venait cette douleur ? Elle ne pouvait trouver d’autre source qu’un amour qu’il n’avait jamais été capable d’éprouver auparavant. Mais si il ne pouvait être avec lui, si il ne pouvait être aimé en retour, ce n’était pas une raison pour perdre à jamais ces moments qu’ils avaient partagé, en toute amitié. Rien que pour ça, pour le plaisir d’être avec lui, de le voir, même si pour cela il devait étouffer ses sentiments, il était prêt à prendre encore quelques risques. Alors, rassemblant tout son courage, il bougea enfin et il suivit le même chemin que Misha avant de poser sa main sur son épaule. « Pardonne-moi… Je ne voulais pas tout gâcher, ni même te pousser à partir… » Ses mots étaient vains, il le savait. Et si il l’avait rattrapé de cette façon, ce n’était pas pour le convaincre de quoi que ce soit et surtout pas de l’aimer… Non, il avait simplement espéré pouvoir récupérer ce qu’il restait de leur complicité, de leur amitié. « Je sais que tout ça était une mauvaise idée et j’espère que tu m’excuseras… » Qu’est-ce qu’il faisait là ? Pourquoi tournait-il autour du pot ? Soudain nerveux, il en perdait quelque peu ses moyens, doutant de plus en plus du succès de ce qu’il s’apprêtait à faire. Néanmoins, si il ne tentait pas, il ne pourrait jamais être fixé. Dans le pire des cas, Misha refuserait et alors, il saurait qu’il ne restait plus grand chose de leur lien… « Si tu préfères partir, je comprendrais mais… si tu veux visiter un peu ma Tour, puisque ce soir elle est vide, c’est vraiment la meilleure occasion. Mais tu n’es pas obligé d’accepter... en fait, je préfère te laisser réfléchir seul, comme ça si tu veux partir, tu n’auras même pas d’excuses à me donner, je serais déjà parti. En revanche si ça te tente, je t’attendrai à l’entrée de ma Tour. Il te suffit d’aller à l’Ouest et c’est l’escalier qui est recouvert de végétation, tu verras, il est facile à trouver. » Sans lui laisser le temps de refuser sa proposition tout de suite, Noam lui adressa un dernier sourire avant de se détourner de lui, traversant la salle de bal d’un pas souple. En apparence, il ne semblait pas réellement différent et pourtant, intérieurement, il ne s’était jamais senti si…détruit. Cependant, il méritait ce qui venait de se passer. Parce que Misha était trop bien pour lui et que lui, il était déjà fiancé à quelqu’un d’autre… Une femme qui plus est. Si il avait été vraiment libre, peut-être que les choses auraient été différentes. Oui, peut-être se serait-il autorisé une autre attitude. Secrètement, il espérait que ses plans pour se libérer de ce mariage aboutiraient. De toute façon, l’échec n’était pas envisageable… Comment pourrait-il accepter de gâcher sa vie de cette manière ? Une vie de solitude, de mondanités, le tout sans véritable amour… Une vie qui excluait Misha. Les larmes lui montèrent aux yeux alors qu’il traversait le couloir en direction de sa Tour, mais il les essuya rageusement, ne s’autorisant pas un tel abattement ; pas maintenant, il n’en avait pas encore le droit. Pour le moment, il ne devait pas encore baisser les bras, car si le jeune homme ne partageait pas ses sentiments, il accepterait peut-être de rester son ami. Cela pouvait sembler dérisoire mais Noam se raccrochait à la moindre perspective qui lui permettrait encore de le voir, de partager un peu de complicité avec lui. De toute façon que pouvait-il lui offrir de plus ? Gravir ses escaliers si familieux fut rapide en définitive et une fois en haut, il regretta amèrement de ne pas avoir marché plus lentement… En effet, maintenant qu’il était au point de rendez-vous, il se retrouvait brusquement démuni. Il ne restait plus que le cruel moment de l’attente. Appuyé contre le mur, il ferma les yeux, essayant de calmer son cœur qui battait douloureusement contre sa poitrine, lui rappelant que la plaie était toujours là et qu’il aurait le plus grand mal à la faire cicatriser…
|
| | | H. Aleksej Wheeler Date d'inscription : 28/11/2010 Écrits postés : 53 Citation : « Je suis le coeur brisé de Jack. » Année d'étude / Job : Sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Lun 29 Nov - 23:27 | |
| On le voit vraiment trop peu ce don pour les hommes. En tout cas merci pour la validation (: |
| | | Jezabel O. Valentyne ♬ Lovely d e v i l ♭ Sadique or a n g e l i c child ? ♫♪ Date d'inscription : 28/11/2010 Écrits postés : 117 Mood : m ê l é e Année d'étude / Job : s i x i è m e
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mar 30 Nov - 0:03 | |
| NOM et PRENOM : Jezabel O. Valentyne AGE du personnage : Dix neuf sombres années DON souhaité : Métamorphomage MOTIVATIONS : Outre le fait que ce don pourrait constituer un atout non négligeable pour les Black Mambas ? Hum ... Disons que j'ai quelques perspectives de Rps qui pourraient se révéler interessantes. Un outil de manipulation trés utile pour soustraire quelques renseignements précieux ... Isn't it ? ! Niark ! EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
I still loving you ... ;
Le rouge suintait sur les débris de lumière blanche, baignant la scène d’une légèreté feinte, libertine, qui déployait mes formes gourmandes à foison. En contrebas, les hommes vidaient leurs pintes l’œil alerte, tels une meute de loups affamés dans l’obscurité vulgaire. Je laissais glisser une main gantée de strass et de paillettes le long de mon corps svelte, à l’affût d’une métamorphose musicale, ivre de mon corps. Illuminée sous le feu des projecteurs, je souriais, fière de mon osmose, attrayante sous mon chapeau de plumes dorées. Elle était là, je le sentais, et le show n’en était que plus sensuel. Voilée par la pénombre, je distinguais sa silhouette élancée tel un guépard en quête d’une proie facile. J’aimais ses yeux sombres, son regard profond, son sourire d’artiste. J’aimais cette femme, et j’aimais tout autant lui donner du plaisir. Elle était là chaque soir à la même heure, et ces rendez vous quotidiens faisaient croître le désir lancinant, nourrissant en silence le feu qui m’animait. Nous nous passions de vaines paroles, de promesses inutiles, préférant à ces éclats d’âmes la simplicité d’un regard tendre. Je ne savais rien d’elle, sinon que nous étions faites pour l’amour. J’imaginais ses baisers, ses mains contre mon corps, la chaleur de son souffle sur ma nuque, et les courbes modelées qui gisaient sous sa robe.
La scène décrivit un mouvement circulaire et j’aperçu Jazz dans les coulisses, qui entamait son premier scotch – le premier d’une longue beuverie nocturne. J’ai toujours eu peur de l’alcool, comme si le fiel malsain pénétrait mon cœur pour liquéfier l’univers qui m’entourait. Ce drôle de monde qui me maintenait debout. Ce drôle de monde, si fragile, sans dessus dessous … Jazz était la métaphore vivante d’une vie en perdition, désoxygénée. Il tirait une sale gueule depuis qu’une salope du vestiaire lui avait vendu la mèche. D’ordinaire, on engage pas les vierges pour ce genre de boulot … Ca rapporte plus d’emmerdes que d’oseille. Ultime révérence au public, pas feutré, rideau sombre … Je fis profil bas, ce qui n’empêcha pas ce con de lâcher les dents serrées :
" Arrête un peu tes minauderies, tu aimes ça, qu’ils bandent sur tes seins ! "
Jazz Wayne, le patron du club, me reprochait souvent mon manque de professionnalisme, ces accès soudains de pudeur évincés par le plongeant de mon décolleté. Dans un sens, il avait raison, plus encore qu’il ne le croyait. Je ne dansais pas pour le fric, mais bel et bien pour cette sensation malsaine qui me berçait le corps et à laquelle j’étais accro jusqu’au bout des ongles. J’exhibais ma féminité naissante, mes formes onctueuses, encore fraîches, et j’aimais ce jeu macabre, cette impression de plénitude et de beauté feinte … J’avais envie qu’on me regarde, qu’on me jalouse, qu’on me désire … Je me sentais femme sous le regard de bêtes esclaves du serpent. J’étais l’ultime tentatrice. Sous les tentures rouge sang, je trouvais mon identité.
La loge somnolait d’un néon blafard. Je me rhabillais en silence, et j’essuyais le surplus de maquillage qui me grimait la face. Cette face immonde que je ne pouvais souffrir. En quelques instants, je redevenais la fille banale, celle qui n’attire point le regard, la petite femme aux cheveux gras. Immondice ! Abjecte réalité … Sans un regard en arrière, je fermai la porte à double tour, empochai mon fric d’un mouvement leste, et passai la porte de derrière, en direction du port.
" Où tu vas ? "
Je me retournai le souffle court, estomaquée par sa présence. C’était la première fois que j’entendais sa voix, une voix grave comme les chanteuses de blues. Vue de prés, mon inconnue dégageait une banalité somptueuse, sans lumière, effacée. J’étais conquise. Elle resta plantée là quelques secondes les bras ballants, mystifiée par la nuit. Je murmurai :
" Quelque part. Chez moi. " " Ah. Tu étais très bien ce soir. " " Merci. Heu … Je dois y aller. A demain. "
Une boule s’accrochait à mon estomac, m’empêchant d’hululer les mots que je rêvais de prononcer. J’avais imaginé la scène des millions de fois, tantôt dans un décor bleu nuit, tantôt sur le sommet d’une montagne, bercée par le chant de l’hiver. Mais ce soir, la réalité m’avait rattrapée et je pataugeais dans une boue gluante, sans pouvoir me dépêtrer de mon aphonie. Elle eut un sourire, simple, avant de disparaître dans le brouillard. Si j’avais su qu’il ne devait jamais y avoir de seconde chance … Les choses auraient elles été différentes ?
|
| | | Rémielle S. Black BLACKBIRD ϟ drown myself in memories. Date d'inscription : 11/11/2010 Écrits postés : 203 Citation : ❝Come on dance around, shine upon the ground & don't worry life is easy.❞ Mood : maussade. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mar 30 Nov - 15:00 | |
| Keon, j'aime beaucoup je valide (: |
| | | Tyler J. Carlson " JACK THE RIPPER " Lost art of murder Date d'inscription : 04/09/2010 Écrits postés : 394 Citation : Evil is a point of view Mood : Bereaved Année d'étude / Job : Chercheur au Ministère, Prof. de Dark Arts, Directeur de Serpentard
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mar 30 Nov - 16:51 | |
| Jeza, c'est un superbe exemple rp, les Black Mambas seront ravis d'avoir une demoiselle avec ce don dans leurs rangs. Je valide ta demande ;) |
| | | Zeyn-Lenox Daybe FALLEN ANGEL. i don't know where i am. Date d'inscription : 26/11/2010 Écrits postés : 161 Citation : je souffre en silence. je me consume de l'ntérieur. loin des regards indiscrets. zeyn. Mood : fatigué. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mar 30 Nov - 22:30 | |
| NOM et PRENOM : Zeyn-Lenox Daybe AGE du personnage : Dix-neuf ans DON souhaité : legilimens et occlumens MOTIVATIONS : tout d'abord je pense que ces deux dons vont dans le sens du personnage que j'ai l'intention de jouer avec ce besoin constant de se protéger et de cacher ses secrets qui le tourmentent tant et une utilité réelle pour la derrey's army. ensuite j'aime beaucoup avoir de vastes possibilités en rp et pouvoir trouver aussi bien des liens que des contextes en rapport avec la capacité de mes personnages. et puis qui ne tente rien n'a rien. (: EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
THE BEAUTY AND THE TRAGEDYtheme musical featuring heather j. penvellyn and leywis c. s. boyd-meadlow« Il faut s’en débarrasser d’un. On ne peut pas garder les deux. » Un homme d’une trentaine d’année, marqué par des cernes de fatigue et une carrure robuste tenait deux bébés dans ses bras. Il avait le regard noir. Sombre. Celui qui le caractérisait tant lorsqu’il était face à un choix difficile à faire, lorsqu’il devait résoudre un problème majeur. Et là, s’en était un. La femme qui venait de donner naissance à ses deux enfants s’était endormie après plusieurs heures d’effort pour mettre les jumeaux au monde. Les médecins avaient cru la perdre. Ses forces allaient la quitter lorsqu’elle accoucha du dernier avant de s’évanouir. L’homme savait qu’il lui mentirait. Qu’il lui dirait qu’un des deux jumeaux était mort à la naissance. Insuffisance respiratoire, malformation des poumons, ou autre. Les raisons ne manqueraient pas. Il se retourna vers son conseiller et meilleur ami et prit un ton grave. Mr Meadlow avait choisit. Il devait le faire pour le bien de sa fortune, il ne voulait pas de guerre de succession, il fallait en abandonner un. Dans un orphelinat. Il ne saurait jamais rien. D’ailleurs on en soufflerait mot à personne et son argent n’en subirait rien. Un sourire fier se dessina sur son visage. L’amour et la pitié n’étaient pas ses atouts et il n’aimait qu’une personne, lui même. Il tendit le petit garçon à l’homme qui lui faisait face. Comme si il avait compris le petit bout-de-chou pleurait et gesticulait dans tous les sens. Sa sœur le suivit ce qui intensifia considérablement le bruit dans la pièce. L’homme d’affaire ordonna alors d’une voix grave. « Emmenez-le vite. Allez le déposer devant un orphelinat de Londres. Il vaut mieux les séparer maintenant avant que leur lien ne soit trop fort. Fait vite. Et je ne veux plus jamais entendre parler de lui. ». Il jeta un dernier coup d’œil rempli de dédain au bébé puis se retourna et serra sa petite fille dans ses bras. « Tu seras la grande représentante des Meadlow. On aura plus de problème ma chérie. ». Enfin c’est ce qu’il pensait. Je me réveillai en sursaut. Dégoulinant de sueur, des perles moites ruisselaient sur son visage. On pouvait lire à la fois de la peur, de la tristesse et de la haine dans mon regard bleu azur. J’avais fait encore ce rêve. Une fois de plus. Le même depuis des années. Il me hantait au plus profond de moi. Me suivait irrémédiablement au fil des années. Ce rêve qui n’avait aucun sens au début. Dont je ne comprenais pas pourquoi il me tourmentait tant. Passant mes nuits à me détruire un peu plus encore. Puis un jour ce songe, ce cauchemar eu tout son sens lorsque la vérité éclata. Lorsque je reçus cette lettre signée de cet homme qui se disait être son père. Ce sorcier milliardaire de sang pur, connu pour avoir fait fortune dans le monde sorcier et moldu. Homme d’affaire intraitable. Sans émotions. Sans cœur. J’en avais été la preuve. Je l’avais haït, détesté après avoir lu la première phrase de cette interminable histoire de ma vie qu’il m’avait conté. Aujourd’hui encore j’avais ses mots gravés dans mon cœur. Ils résonnaient comme des coups de couteau au plus profond de moi. « Abandon », « jumeau », « obligation ». J’avais fini par comprendre ce qu’il s’était réellement passé. Lâchement abandonné à la naissance pour une histoire d’héritage, cet homme avait simulé ma mort à toute ma famille pour préserver sa fortune. J’avais vécu des années durant dans un orphelinat miteux, sans affection, sans amour et tout ce qu’il avait réussi à dire était « j’ai été obligé de révéler ce secret que Dieu m’en soit témoin, maintenant je peux partir en paix. ». Il n’avait même pas fait semblant qu’il avait mal vécu cet abandon. Non. Il était égoïste. Il voulait juste éponger ses pêchers avant son dernier voyage vers l’au-delà. Il m’avait volé mon enfance et maintenant il voulait que je le pardonne. Qu’il aille au diable. Je n’ai même pas répondu à sa lettre, j’ai appris quelques semaines plus tard qu’il avait rendu son dernier soupir. Et maintenant je voyais ma jumelle à Poudlard, celle que je pensais être une amie était bien plus que cela. Je la détestais. Tout comme cette mère qui avait essayé de reprendre contact avec moi. Je les haïssais tous. Je ne voulais pas en entendre parler. Même si elles n’y étaient pour rien. Pour moi rien que leur présence faisait s’émietter un peu plus ce cœur qui n’était plus qu’un roc d’apparence. La méchanceté et l’indifférence étaient aujourd’hui mes armes. Je me relevai doucement et m’assis sur mon lit. J’essuyai mon front avec mon drap. J’inspirai et expirai plus lentement, reprenant une respiration normale. Mon corps avait comme à chaque fois répondu en accélérant mon rythme cardiaque face à ce cauchemar. Je devrais être habitué à présent. Pourtant non. Je finissais toujours par revivre ce moment. D’ailleurs d’autres questions se sont mises à me tourmenter. Comment pouvais-je voir si nettement une scène que j’avais vécue lorsque j’avais à peine deux heures d’existence ? Etrange la manière dont était fait la vie. C’était comme si je l’avais toujours su. C’était effrayant, tous ces flashs qui apparaissaient dans mon esprit étaient de plus en plus fréquents. Je ne comprenais plus rien. Ou alors je ne voulais pas voir la vérité en face. Je repris peu à peu mes esprits. Quelques secondes passèrent durant lesquelles j’étais dans un état seconde, entre la réalité et l’imaginaire. Mon esprit s’était vidé. Je ne pensais plus à rien. J’étais paisible. Dans un autre monde. Un bruit me fit redescendre sur terre. Je me tournais légèrement pour voir d’où ça venait et vis un de mes camarades de chambre qui venait de se retourner dans son lit en émettant un petit grognement qui me fis décrocher un petit sourire. Je les enviais. Ils semblaient dormir avec tant de sérénité. Ils paraissaient si paisibles. Moi, je n’étais devenu qu’un insomniaque incapable de faire une nuit entière. C’était déprimant. Je me levai en jetant un coup d’œil par la fenêtre. Une averse déferlait sur le château. Une forte pluie du mois de mars qui me rappelait sans cesse combien il était plaisant de vivre dans ce beau pays qu’est l’Angleterre avec son temps de rêve. Ironie bien sûr. Pour une ballade nocturne s’était râpée. Il ne me restait plus vraiment d’option. Retourner dans mon lit était voué à l’échec, je n’arriverais surement pas à me rendormir avant plusieurs heures et si il y avait bien quelque chose que je détestais faire c’était tourner dans mon lit, contemplant le plafond sombre qui me faisait face en me perdant inlassablement dans mes pensées néfastes. Définitivement non. Je n’allais pas rester là. Je pris un tee-shirt bleu uniforme que j’enfilai au dessus d’un jogging gris. Je passais ma main dans mes cheveux. C’était un tic chez moi, on me voyait souvent ainsi. Comme à leur habitude ils étaient en bataille. Coiffure qui me donnait un style un peu rock’n’roll paraitrait-il. Moi je voyais en ça au moins un point positif. Je n’avais pas besoin de passer des heures pour les coiffer. Quoique je fasse ils reprenaient toujours cette forme dépareillée. En silence, je sortis de la chambre et descendis les escaliers en colimaçon. Les pierres froides du château rentrèrent en contact avec mes pieds nus et un frisson me traversa le corps remontant jusqu’au lobe de mon oreille droite. Dehors, l’orage avait redoublé d’intensité et on pouvait entendre le tonnerre gronder énergiquement au dessus du château. En arrivant dans la salle commune, je pris une bougie et l’alluma en prononçant à voix basse un petit sortilège tout en pointant ma baguette magique en direction de la mèche. L’atmosphère qui régnait ici était étrange. La salle commune se situait dans les cachots et il y faisait un froid constant en temps normal, mais ce soir avec l’orage et la fraicheur de mars, on ressentait encore plus la froideur des lieux. C’était une sensation étrange. Il n’y avait personne. Je n’étais pas vraiment étonné. A cette heure ci tout le monde dormait chez les serpentard. Toute personne censée devait dormir dans le monde entier d’ailleurs. Moi j’étais là. Eveillé. Je n’étais définitivement pas normal. Et encore moins censé. Je m’assis, les jambes relevées contre mon torse sur un des fauteuils qui faisaient face à la cheminée puis posa la bougie sur une petite table. La mèche éclairait faiblement la pièce et mon regard se perdit peu à peu dans le vide. Je repensais peu à peu à ce cauchemar. A toutes ses visions qui me tourmentaient depuis quelques mois. Je ne comprenais plus rien. Vraiment plus rien. J’étais devenu un serpentard, plus sombre et distant qu’avant. Le sarcasme et la méchanceté était de plus en plus présent en moi. Je m’assombrissais. Je ne pensais plus qu’à moi. Qu’à cet être que je détestais voir dans un miroir. Mon reflet m’horrifiait. Mon âme s’émiettait. Je ne devenais que l’ombre de moi même. M’engouffrant dans les tourments de mon esprit. De ma vie. Comme pour me rassurer, tel un enfant je passais mes bras mains autour de mes jambes toujours appuyés sur mon torse joignant mes mains. Dans un mouvement lent, je posai délicatement ma tête sur mes genoux. La scène devait être bien comique. Leywis. Moi. Ce jeune homme qu’on déteste plus qu’on aime. Qui vous méprise, que vous haïssez. Qui semble n’avoir peur de rien. Ne penser qu’à lui. Dans une situation pareille. Tel un enfant. J’étais ridicule. Totalement ridicule. Dans un murmure difficilement audible je me lançai à moi même « Tu es fou Leywis. Il faut te faire soigner. ». Le vieux avait peut-être bien eu raison de m’abandonner à la naissance. icons by aprilheart lj and devotion
Dernière édition par Zeyn-Lenox Daybe le Mer 1 Déc - 18:35, édité 1 fois |
| | | Keon S. Wade LOST SOUL ✩ Don't save me, cuz I don't care ~ Date d'inscription : 29/11/2010 Écrits postés : 189 Citation : ❝ Dis-moi tous ces mots interdits que tu n'as jamais osé prononcer ~ ❞ © Keon Mood : Broken-hearted man ~ Année d'étude / Job : Septième année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mar 30 Nov - 23:42 | |
| - Rémielle S. Black a écrit:
- Keon, j'aime beaucoup je valide (:
Merci Rémielle |
| | | Edwige L. Desmon-Fields Date d'inscription : 28/11/2010 Écrits postés : 72 Citation : « la neige possède ce secret de rendre au coeur en un souffle la joie naïve que les années lui ont impitoyablement arrachée. » Mood : tired. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mer 1 Déc - 11:10 | |
| NOM et PRENOM : Edwige L. Desmon-Fields AGE du personnage : Dix-neuf ans. DON souhaité : Lycanthrope et Occlumens. MOTIVATIONS : Je n'ai jamais joué de loup-garous et je trouvais l'occasion plutôt intéressante. (: Ensuite, je ne sais pas bien quoi ajouté, à part que ça rajoute des occasions de rp, de liens et de complexité psychologique du personnage. *sbaf* J'ignore s'il est possible de combiner un don d'Occlumens avec celui de Loup-garou ( bien que celui-ci ne soit pas réellement un " don " ) mais j'y es pensé à me mettant dans la peau de mon personnage. Si j'étais un Loup-Garou, monstre mi-humain, mi-loup, instable et incontrôlable, je ne tiendrais pas personnellement à ce que trop de personne le découvre, et la légilimancie fait partis des risques que ce soit le cas. De plus, Edwige a accidentellement tué son frêre lors de sa première transformation, et c'est un souvenir que tout le monde ignore et qu'elle ne voudrait pas, par simple égoïsme, ou douleur de mémoire, que d'autres apprennent. Enfin, le don d'Occlumancie serait sa façon de protéger ce secret qu'elle garde. (: EXEMPLE DE RP : C'est le seul que j'ai retrouvé, j'espère que ça ira. uu' - Spoiler:
Elle l'avait senti. Dans chacun de ses gestes dès lors qu'elle était arrivée au parc. A partir du moment où il l'avait enveloppé de sa robe de sorcier, jusqu'à ce bras avec lequel il avait entouré ses épaules et ce regard qu'il avait posé sur elle. Elle avait senti la peine qui le régissait entièrement dans la faiblesse de sa voix alors qu'il avait tenté une explication qui n'en était pas une et le vert de ses yeux qui reflétaient l'unique envie d'un répit qui ne venait pas. Alors elle n'avait pas insisté. Et alors que Kaprice guidait Jake vers l'infirmerie, elle avait cherché un lieu où il pourrait se reposer. Car il était d'une évidence limpide qu'elle refusait de laisser Heath dans cet état. Tout d'abord, il fallait rentrer. Rentrer afin d'éviter le froid mordant qui assaillait leur peau et tenter d'atteindre un endroit plus calme. Levant la tête pour croiser son regard, elle se détacha légèrement, commençant à prendre la direction du château, glissant sa main vers la sienne pour qu'il l'a suive. « Viens Heath, rentrons. » Elle voulait l'emmener loin d'ici, quoi qu'il se soit passé de plus qu'elle n'en ai vu entre lui et Jake ou Kaprice, et ne plus le voir ainsi. Sunny avait rarement vu le Serpentard dans cet état mais à chaque fois, le savoir comme ça lui faisait mal. La jeune Serdaigle, n'avait jamais supporté de voir souffrir les autres, qu'elle les connaisse ou non, cela ne faisait aucune différence. Heath avait été certainement l'une des premières personnes à laquelle elle avait tendue la main, un matin, à l'orphelinat. Et encore aujourd'hui, elle serait toujours là quand il en aurait besoin, même si les pensées de son cœur était tournées vers une autre.
Sunny n'avait jamais été aveugle, et encore moins naïve. Et il aurait fallu l'être pour ne pas comprendre ce qui était entrain de se passer entre Kaprice et lui. Cette proximité qui s'était installé, menaçant de séparer les deux impétueux, comme il l'avait fait aujourd'hui. Mais était-ce vraiment le cas ? Beaucoup aurait prit la dispute précédente comme un signe de haine sans égal. C'était sans voir l'état dans lequel elle avait mis les deux orphelins, sans compter Jake. Depuis le début, Sunny avait assisté à leur rapprochement. Depuis le début, elle avait vu celui qu'elle aime créer un nouveau lien avec son amie. Son amie. C'était ainsi qu'elle caractérisait Kaprice, comme chacun des orphelins avec lesquels elle avait grandi. Voilà pourquoi elle n'avait rien dit en arrivant. Parce qu'elle était bien trop gentille pour s'immiscer entre eux. Parce qu'elle ne serait plus Sunny si elle s'était plaint de quoi que ce soit. Quoi que Heath éprouve pour la rouge et or, elle ne s'en mêlerait pas. Elle ne voulait pas s'en mêler. Alors pourquoi cela lui faisait-il si mal ? Pourquoi souffrait-elle de cette vision du baiser à moitié échangé entre eux ? La raison était pourtant simple. Un simple sentiment auquel elle refusait de s'abandonner. Nommé jalousie. Mais pourrait-elle la nier plus longtemps alors qu’elle s’insinuait dans les recoins les plus fragiles de son cœur ? Elle l'ignorait, mais ne s'y résoudrait pour l'instant pas, cachant à tous et en premier à Heath, ces émotions les plus profondes. Par peur. Peur de sa réaction, peur de le perdre. Il est vrai qu'ils avaient toujours été proches, depuis des années, à l'étonnement de beaucoup qui ne pouvait que s'ahurir devant un couple si paradoxal. Souvent, elle avait osé s'imaginer plus entre eux. Souvent elle avait voulu franchir le peu d'espace qui les séparait lors de ces moments qui n'appartenaient qu'à eux. Mais elle n'en était plus sure désormais. Depuis qu'il y avait Kaprice. Et qu'elle avait perçu le ton de sa voix lorsqu'elle avait parlé de la bleue et argent. Ce qu'elle avait entendu dans ses mots blessants n'était rien d'autre que de la haine. Elle la détestait. Et si Sunny s'en attristait, elle ne parvenait pas à lui en vouloir... Malgré le fait qu'elle n'aurait pas voulu que tout se passe ainsi, même si elle souhaitait plus que tout au monde rehausser la situation, elle s'était heurté à un mur d'incompétence personnelle.
Alors qu'ils avaient retrouvé la chaleur des couloirs, Sunny réfléchissait à un endroit calme et loin de ces élèves trop oppressants. Elle n'eut pas à réfléchir bien longtemps avant qu'un bruit n'attire son attention. Et c'est alors qu'elle les vit. Sur sa droite, à quelques mètres d'eux, les briques autrefois immobiles du mur froid du corridor se mouvaient dans un ensemble parfait. Il ne fallut que quelques fractions de secondes à Sunny pour comprendre de quoi il s'agissait. La Salle sur Demande leur ouvrait ses portes. De toutes ses années à Poudlard, la jolie blonde n'était pénétrée qu'une fois dans ce lieu, il y a de ça deux ans. Interrogeant le grand blond du regard, ils finirent par effectuer les quelques pas les menant à l'intérieur de la salle, avant que celle-ci ne se referme derrière eux. Alors elle ne su l'effet qui lui fit le décor se dessinant devant ses yeux. Ce paysage qu'elle connaissait par cœur. Chaque détail de la tapisserie des canapés, chaque marque gravée sur le parquet sombre, jusqu'au bruit à la fois rassurant et effrayant pour elle des flammes qui brûlaient dans l'âtre. L'orphelinat du Chemin de Traverse. Celui qui l'avait recueilli après l'accident ayant déclenché la mort de ses parents. Celui qui avait été, les premiers jours, le confident de sa peine d'orpheline. Il était intéressant que la salle sur demande se soit ouverte sur le salon de ce bâtiment. Y aurait-il un lien avec le poète, la pièce étant l'endroit où l'histoire avait été contée pour la premières fois à ses habitants, un soir au coin du feu... Mais aujourd'hui, tout était vide et Heath et elle étaient les seuls représentants humains présents. Heureusement puisque c'était ce qu'elle recherchait pour lui. Quittant la rassurante silhouette du vert et argent, Sunny prit la direction des armoires de la pièce. Au cas où... Mais ce qu'elle y trouva se révéla bien trop conforme aux véritables objets y trônant à des kilomètres de là. « Qu'elle s'ouvre sur l'infirmerie de l'orphelinat aurait été bien plus utile. » Malgré le précédent silence, sa voix l'avait rompu, accompagnée de l'un des sourires doux dont elle avait le secret et d’un soupir discret. Malgré l'ironie de sa phrase, elle en était bien plus affectée que ce qu'elle ne le laissait voir, n'aimant pas voir Heath dans un état comme le sien. Dire qu'elle envisageait des études de Medicomages. Peut-être qu'enfin, elle serait en mesure de soigner les blessures causées par son mauvais caractère.
|
| | | M. Junalie Kleins-Lond Le monde est un PERVERS et je continuerais de le braver Date d'inscription : 30/11/2010 Écrits postés : 56
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mer 1 Déc - 16:54 | |
| NOM et PRENOM : Molyope Junalia Kleins-Lond AGE du personnage : 490 ans figée dans ses 18 ans. DON souhaité : Vampire (: (Juste pour le dire j'en ai jamais jouer avant) MOTIVATIONS : Je trouve cela intéressant de jouer un vampire vu que c'est la première fois, ma motivation première est le changement, le fait de jouer une personne plus âgée et donc avec plus d'expérience et de vécue. Après c'est surtout pour pimenter l'histoire de mon personnage et ne pas avoir un personnage comme tout le monde. Évidemment ce ne sera pas une furie qui mange tout le monde et fout le bordel. EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Bien que le soleil se couchait en plus tôt ses derniers temps rien ne m’empêchait de sortir en dehors du château, je savais pourtant que des petits malins aimaient venir nous faire peur en imitant la voix d'un fantôme, d'un loup garou ou bien d'un vampire mais avec le temps j'avais appris à sortir ma baguette et les envoyer cul nue dans le lac. Le soir était un réel soulagement pour moi, la fin des cours de la journée, la solitude des jardins, les salles communes chauffées au feu de bois... et cette odeur de repas chaud venant des cuisines, un vrai délice. Bien sur le froid était arrivé depuis déjà un petit bout de temps mais une fois n'est pas coutume la frileuse que j'étais avait toujours en stock une tonne de vêtements bien chauds ( sans oublier les elfes de maison qui se plaisent à nous mettre des bouillottes bien chaudes dans les draps de nos lit et dont j'adorais dormir enlacé tout contre) En cette belle nuit, froide, mais déjà étoilée je me sentais heureuse, je me sentais vivre comme si cette journée avait été la plus belle de ma vie... pourtant ce n'était pas le cas : Par exemple j'avais raté un examen de Potions, la honte, puis maladroite que je suis, mes pieds ont dérailler dans les escaliers du premier et me suis retrouvée fesses au sol devant une petite partie de Poudlard... mais ce n'était que des détails, hors de question de laisser quoi que ce soit se mettre au milieu de mon bonheur. En ce moment même je flottais les yeux fermer en faisant le tour du lac, mes pieds semblaient tellement agile comme si ils avaient fait ça des millions de fois et connaissaient le chemin par coeur. Mes pensées étaient pratiquement vide et si j'en avais une je pensais seulement à mes amis et les bons moment passés avec eux. Rien ne pourrait altérer à mon bonheur, absolument rien !
Je me rendis compte du temps que j'avais passer dans les jardins seulement quand mes pieds eurent tellement froid que c'était à la limite si ils n'étaient pas congelé. Cela faisait maintenant une heure que je vagabondais comme ça à sautiller, rêvasser et flotter à l’extérieur et personne n'était venu m’embêter, quelle magnifique soirée franchement.. pourquoi ne pas la prolonger d'ailleurs? Mes pieds endoloris me menèrent alors ver les serres bien chaudes et où il n'y avait jamais personne à cette heure de la journée. Mes petits pieds étaient ravi dés le moment où ils entraient dans l'étouffante chaleur, j'en avais limite même trop chaud, c'était encore mieux qu'un orgasme. N'étant pas vraiment une fille très coquette je ne réfléchissais pas avant de m’allonger par terre, ce que cela faisait du bien de se reposer bien au chaud, j'y dormirais même limite si cela était possible et que toutes sortes de bestioles ne venaient pas de ci de là. Une fois de plus je restais longtemps ici, mais il fallait penser au dîner et mon ventre commençait à crier pour rappeler que lui aussi il était là, ce fut pour cela que après m'être astiquée de bas en haut pour enlever les cochonneries qui c'étaient apposé sur mes vêtements et mes cheveux, je prenais la porte pour ressortir dans le froid... jusque à temps que mes yeux bleus croisent la silhouette d'une personne connue et cher dans une des serres voisines. Rafael. Ce Rafael était différent des autres personnes , alors lui j'avais envie d'être seule à deux, sa présence ne me dérangeait aucunement bien que je doive avouer qu'il me faisait peur de temps à autre même si jamais je ne lui ferais voir. Mais à peine mes premiers pas dans la secondes serre fut fait que je compris que quelques choses n'allait pas. « T'approche pas, et dégage d'ici. » C'était comme si.... on m'arrachait le coeur. Je le regardais avec peine et tristesse, j'avais un visage blafard et blessé, le sourire que j'avis entrepris en entrant avait maintenant totalement disparu et mes dents mordait ma lèvre inférieur. « Je suis de mauvaise humeur, j'ai envie d'être seul. » Je me demande qui ne se serait pas rendu compte de sa mauvaise humeur, il faudrait être sourd et aveugle en même temps. « Heu... et ça ne te dis pas d'être seul à deux? » J'avais tenté cette phrase qui n'était pas d'ordinaire mon habitude, mais comme je l'avais dis, lui c'est totalement différent.Malgré l'ordre qu'il avait donné précédemment je ne sortais pas mais en plus je m'approchais de lui juste à poser ma main sur son épaules et mes yeux tristes dans les siens. « Dis moi tout aller ! Je n'aime pas te voir souffrir » Si seulement je savais pourquoi il souffre je pense que j'aurais vite pris mes pieds à mon cou.
Un de mes derniers.
Dernière édition par M. Junalia Kleins-Lond le Mer 1 Déc - 18:15, édité 1 fois |
| | | Hilaire Chadwick Date d'inscription : 30/11/2010 Écrits postés : 47 Citation : Les Dragées surprises de Bertie Crochue - prenez le risque à chaque bouchée ! Année d'étude / Job : AUROR. PROFESSEUR de métamorphose & DIRECTRICE des Griffondor.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Mer 1 Déc - 17:59 | |
| Mechante Hilaire, méchante ! J'ai oublié de poster ici. Par avance merci ! NOM et PRENOM : CHADWICK HILAIRE AGE du personnage : 28 ANS. DON souhaité : ANIMAGUS. Hilaire se métamorphose en chat de type bleu russe. Ainsi, quand l'envie de torturer une souris lui est passée, elle file écouter aux portes ou lorgne les passants. Et finalement, se réjouie des discussions qui gazouillent à ses oreilles dressées. En somme, un excellent espion pour le compte du ministère. MOTIVATIONS : J'avais hésité avec legilimens ou occlumens. Puisque Hilaire est une sombre petite garce, ces deux dons aurait été fort profitable au ministère. Puis finalement, j'ai trouvé plus logique d'être animagus en vue du personnage que je souhaite construire. Professeur de Métamorphose . huhu. Brefouille ayant déjà pas mal avancé dans ma fiche je vais pas m'étendre ici, j'ai laissé plein de petites infos sur les intentions et la cervelle qui dégouline de miel de Hilaire dans la première partie. =D EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Dis-moi qui sont ces gens qui abritent, éclatants, leurs yeux de trop d'orages ? Dis-moi qui sont ces dieux qui des foudres des cieux, savent faire bon usage et rester hors du temps ? Quand nous autres n'avons, que l'hiver pour pâturage pour nos tristes pigeons. Qui sans destination, nous renvoient nos messages. Dis-moi qui sont ces gens. Qui rient comme des enfants, qui se donnent la réplique ? Celle des Roméo, des Tristan, des Rimbaud, Celle des grandes musiques. — Saez. Les étoiles s’éteignent, tristes ou désespérées. Le chant des sirènes exalte l’atmosphère, furies venimeuses aux masques superbes. Le malheur galope au devant des vents et s’ébroue d’une force vibrante. Désarçonnant les plus fragiles, faisant se perdre les orphelins. Intime relation d’écervelés aux penchants mystiques. Les repères s’envolent et le chemin s’efface. Tas de cendres, poussières virevoltantes et brillantes. Elle les regarde, de son visage d’enfant rêveuse, un peu trop naïve, terriblement désenchantée. La lune, maîtresse d’une âme incomprise, garde contre son sein la fragile ingénue. Préservant une mignonette fillette, que la vie casse et ravage. Sensible mère, qui cachant ses sentiments, tente en vain d’oublier cette frayeur épouvantable qui étreint furieusement son bas ventre. Car son chérubin colérique s’égare, sombre et chute. Plongeant dans l’abîme bouillante, consumant son être bien trop esquinté. Murmurant à ses oreilles les pires infamies, suppliant la môme de ne pas la quitter. L’ensemble va site vite, le monde tourbillonne en pleine folie. Pleurant l’innocence disparue et la démence incrustée. Vieille fille, qui ne comprend que ce qu’elle vomit, puisqu’elle n’est qu’un astre. Boule géante et ardente, stupide chimère d’une illuminée affaiblie. S’endormir dans le froid, geler et crever dans la neige. Beau manteau immaculé, pour une sainte salement noircie. Mensonges susurrés entre des lèvres pleines, viande indécemment charnue et gorgée de sang. Esquisse, contrefaçon d’un créateur amateur. Tout n’est qu’utopie, leurre que la belle invente et façonne à sa façon. Assise au milieu du néant, peut être accroupie dans de l’herbe ou de l’air. « Quel jour somme-nous ? » Elle n’en sait rien. Elle oublie tout. Sur le rebord d’une gouttière, elle sacre l’apocalypse.
Ses doigts s’enfoncent dans la mollesse d’un sol baveux, texture invraisemblable. Délire. Visqueuse sensation, le dégout se lit sur ses traits. La bouche des métros, avale les passants. Son corps bascule, essaye de se tirer hors du sommeil planant à la surface. S’élever vers le ciel, rejoindre les nuages. Se dissoudre comme un cachet d’aspirine, que l’on balance vulgairement en pleine eau. La gracile mélancolique perd pieds, et clôt ses paupières. La nuit l’encercle, piège d’une traitresse. Minuscule souris trottinant vers on ne sait quoi, bondissante vermine effarouchée qui crachote de la bave tiède. Procédé de défense bringuebalant. Elle s’extasie, un verre d’absinthe à la main, attendant un amant qui ne viendra plus. Romy se le jure, ce soir sera le dernier. Après ce tour au merveille, elle cessera. Aller simple pour l’Enfer. Sa muse lui chuchote qu’elle enverra bientôt quelques uns de ses sbires bousiller ses instants éthérés. Songes arachnéens qui l’enferment et l’enchainent, qui l’empêchent d’achever son œuvre pernicieuse à souhait. Soudain, ça vacille. Allongée sur son lit de pierre, et de dentelles. Les chats nocturnes lui miaulent leur ritournelle. Elle les accompagne, et psalmodie des notes amusantes. Babillage de dégénérée placide, qui se persuade qu’elle fredonne un véritable requiem. La bestiole caresse le silence avec sérénité, car bientôt il semble qu’elle devra le briser. Vocifération inopinée, cries imbéciles d’un esprit sur le déclin. Pour sûre, elle n’entend plus rien. Il est le premier, et demeurera l’ultime. Lui, nul autre. Prenant entre ses doigts tremblants le peu d’humanité qui lui reste, un sanglot reste bloqué dans sa gorge fraîche. Il ne sort pas, il ne peut pas. Le regard vitreux se perd dans l’immensité d’un paysage ruiné, elle cherche l’erreur. La silhouette ou la constellation de son univers, la flamme toute prête à cramer l’allumette. Bidon d’essence qui stagne, fond de bouteille impatiente à l’idée de se muer en flambeau. Le félon l’ignore, la toise ou l’oublie. Il s‘est creusé un nid, six étages plus bas. Niveau cadavres bénis.
Un pas devant l’autre, elle hésite entre courir et perdre haleine; ou ramper et arracher la peau fine. Alors elle reste, au milieu des pigeons. Blondinette aux iris dilatées, organisme en manque de sensations ; En carence d’un fluide vitale. La drogue ne suffirait plus à combler le vide attirant, elle se tarie et s’affaisse. Se fait toujours plus pâteuse et indigeste. « Je meurs, en cavalant. » gazouille la maigrichonne en serrant excessivement un coussin trouvé là. Ou un sac poubelle. Gargouille sur le toit des immeubles. Elle veut aller au bout de son rêve, et faire pleurer une fois de plus l’aiguille. Percer le beau, et faire germer le laid. Ignorance d’une médiocre angoisse, égoïsme d’une gosse coupée en deux part inégales. Qui recherche le trésor, qui persiste à croire que le divin le garnie de bouquet de roses. Elle veut le bourreau splendide. Qu’il la berce. Qu’il lie ses mains aux siennes, afin qu’elle ne puisse se disloquer en de nombreux lambeaux. D’un doigt frôlant l’autre, d’une chaleur en épousant une autre. Enchevêtrement et distorsion. Ce ne sont que des promesses passées, des paroles déchues et brisées. Insecte sans famille, trajectoire falsifiée. Un rayon de soleil, final d’une soirée irrespirable. Le brouillard, fantômes et mains qui ne se tendent pas. L’aube ignore sa présence, le jour dérivera. Soupir après soupir, le spectre ne se dessine pas. La sonnerie du répondeur, il est occupé ou c'est une ligne fermée. Veloutes, gitane qu’elle fume. La clope ou la danseuse. On ne saurait le dire. Poumons qu’elle bâillonne, raison qu’elle embrume.
Il est des personnes que l’on aime, et d’autre que l’on apprend à détester. Crachant le gaz gris d’entre ses dents, à la manière d’une coquette. La chipie a froid, emmitouflée dans sa veste ouverte. Posant l'objet téléphonique, elle appelait un numéro qui ne décroche pas. Petite chose frigorifiée, grelottante sur son perchoir. Les jambes dans le vide, balançoire pour suicidaires romanesques, cherchant peut être à reconstruire les magiques tragédies des pièces de théâtres célèbres. Le vertige d’une trapéziste fantaisiste, face à face avec un trou stérile. Tombeau et cercueil. Romy finalement se lève, se dresse sur ses maigres guiboles, gratte les dalles de bétons qui s’effritent. Les minuscules résidus, miettes graveleuses, se dispersent et disparaissent. Nuls hommes soulèveront les yeux. Quelle idée n’est-ce pas, que de quérir les ennuis. La chenille veut se changer en papillon. Ecartant les bras à l’horizontale, prête pour le grand plongeon. « c’est pour toi, mon ange. » marmonne la bête à la conscience évaporée. Il la rejoindra, il ne pourrait à nouveau l’abandonner.
|
| | | Rémielle S. Black BLACKBIRD ϟ drown myself in memories. Date d'inscription : 11/11/2010 Écrits postés : 203 Citation : ❝Come on dance around, shine upon the ground & don't worry life is easy.❞ Mood : maussade. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Jeu 2 Déc - 18:36 | |
| Zeyn, j'aime ton rp et je pense que ton personnage en sera des plus intéressants je valide donc (: Edwige, je suis désolé mais unir les deux faits un peu beaucoup donc a voir par la suite pour une autre demande.
|
| | | Edwige L. Desmon-Fields Date d'inscription : 28/11/2010 Écrits postés : 72 Citation : « la neige possède ce secret de rendre au coeur en un souffle la joie naïve que les années lui ont impitoyablement arrachée. » Mood : tired. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Jeu 2 Déc - 20:11 | |
| Je me doutais un peu que ça passerait pas. Mais qui ne tente rien n'a rien. Il est quand même possible de garder uniquement Lycanthrope ? |
| | | Zeyn-Lenox Daybe FALLEN ANGEL. i don't know where i am. Date d'inscription : 26/11/2010 Écrits postés : 161 Citation : je souffre en silence. je me consume de l'ntérieur. loin des regards indiscrets. zeyn. Mood : fatigué. Année d'étude / Job : sixième année.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Jeu 2 Déc - 21:20 | |
| - Rémielle S. Black a écrit:
- Zeyn, j'aime ton rp et je pense que ton personnage en sera des plus intéressants je valide donc (:
merci beaucoup ça fait plaisir
|
| | | Aisleen S. MacKayla Date d'inscription : 28/08/2010 Écrits postés : 542 Citation : Some nights never end, some desires never die Mood : Losing my mind Année d'étude / Job : Septième Année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 14:03 | |
| Junalia : je valide pour le don! X)
Hilaire : j'aime beaucoup l'exemple de rp que tu as mis. Je valide donc le don! X)
Edwige : oui tu peux prendre le don de lycan, je te note dans la liste. ♥
Et j'espère n'avoir oublié personne. '-' |
| | | M. Junalie Kleins-Lond Le monde est un PERVERS et je continuerais de le braver Date d'inscription : 30/11/2010 Écrits postés : 56
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 14:33 | |
| Merci beaucoup c'est super ♥ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 16:45 | |
| NOM et PRENOM : Everleigh A. Manwood AGE du personnage : 19 ans DON souhaité : Occlumens MOTIVATIONS : Le père d'Everleigh est un homme tyrannique adepte de la magie noir, et par conséquent excellent Legilimens. Everleigh a toujours eu peur que son père n'entre dans son esprit et découvre qu'elle n'avait pas vraiment les mêmes passions ni le même point de vue que lui. Bien sure elle est encore jeune et ne maîtrise pas ce "don" à la perfection, mais assez pour lui permettre de dissimuler qu'elle n'a rien contre les moldus et les sang-mêlés. EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Le soleil venait de se coucher, les lumières de "l’immensité " venait de s'allumer laissant les passagers quelques fractions de secondes dans le noir où ils évoluaient désormais. Jusqu’à présent le voyage s'était déroulé sans encombre, mais à vrai dire, même si la mer avait été agitée personne ne l'aurai remarqué tant il y avait d'animation sur le bateau et tant les passagers étaient émerveillés; la plus part regardait au plafond les somptueux lustres, tout le monde avait en quelques sorte la tête dans les nuages.
Lorsque l'heure du repas fut venue, Josephine quitta sa cabine où elle était partie se reposer, d'habitude l'euphorie et l'agitation lui plaisait mais ce soir elle avait l'impression que sa tête allait exploser. Elle se mit à la recherche de la salle à manger des 2èmes classes en ignorant les gens qui l'alpaguait parce que elle les avait bousculés eux où leur horribles bambins en tentant de se faire une place pour pouvoir passer dans le couloir bondé. Contrairement à la plus part des passagers, Josephine n'était pas hystérique à l'idée d'être sur le plus gros paquebot du monde, en effet elle était avant tout ici pour son travail, ce qui ne l’enchantait guère, elle aurait préféré pouvoir s'amuser sans aucune contraintes; mais peut-être était-ce son mal de mer qui l'a mettait dans cet état d'esprit.
Elle arriva tant bien que mal dans la salle à manger, elle ne fit pas attention au proportion ni à la décoration de la pièce. Elle ne se rendit pas compte que par rapport aux troisièmes classes présent ici et à la décoration modeste de la pièce elle pourrait passer pour une première classe. La seule chose dont elle se rendit compte c'est du vacarme qui régnait ici. Le bruit l'a dérangeai et encore plus que tout à l'heure elle eut l'impression que sa tête allait exploser. Elle continua d'avancer dans le couloir tout en essayant d'ignorer le vacarme, elle ne remarqua pas qu'une jeune femme se trouvait à l'entrée de la salle et elle l'a bousculât sans sans rendre compte . Mais alors qu'elle avait ignoré les autres, Josephine cette fois-ci se retourna, elle n'allait tout de même pas se mettre tout le bateau à dos dès la première soirée ...
|
| | | Brooklyn N. Hennighton Date d'inscription : 01/12/2010 Écrits postés : 36 Citation : Je suis une fleur qui croît dans le jardin du Diable Année d'étude / Job : Professeur de Contrôle des Créatures Magiques
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 19:31 | |
| NOM et PRENOM : Brooklyn Nina Hennighton AGE du personnage : 26 ans DON souhaité : Animagus MOTIVATIONS :Le simple fait d'être un Animagus a énormément d'avantages. Discrétion assurée, on peut tout entendre, tout voir sans que la ou les personnes observées sachent qu'elle le sont... C'est comme si on avait un contrôle particulier sur cette personne... Et c'est cette sensation là qui a poussée en partie Brooklyn à vouloir devenir Animagus. De plus, afin de tester ses capacités, elle s'est durement entraîner jusqu'à y arriver un beau jour. Et puis, sous forme animal, personne ne peux te déranger pour quelques broutilles que ce soit... et il faut avouer que c'est bien ça le meilleur avantage ! EXEMPLE DE RP : Je tiens à préciser que ce rp n'est pas tout à fait récent :s J'en ai pas un plus récent, vu que j'ai fais un break entre temps !:)- Spoiler:
-Une soirée organisé pour la fête d'Halloween ? Fis Shana tout en se maquillant -Oui, ce sont les Omégas qui l'ont organisée. Tout le monde dis qu'elle va être génial ! répondit une autre. -Normal vu qu'on y sera ! répondit cette dernière avec un air malicieux et amusé à la fois.
La nouvelle ne tarda pas à être connu par tout le monde. Bientôt la fête s'insinua dans chaque état d'esprit et la première question qu'on se posait était: Quel costume porter ? Pour Shana, la question ne se posait même pas, non pas que son physique suffisait, mais même si sa nature narcissique l'obligée à chercher quelque chose de magnifique, elle se fichait pas mal du costume qu'elle porterait. Le déguisement de Sorcière suffisait amplement bien qu'elle savait que beaucoup d'autres jeunes filles allaient porter le même genre de choses. Le but était de s'amuser et c'est ce que Shana compté faire.
Quelques heures avant la soirée tant attendue, Shana s'affairait dans la préparation de son costume en compagnie de plusieurs jeunes filles déguisées en vampire, en sorcière, en zombie.. Une était même habillée en infirmière et lorsque Brooklyn passa tout près, elle lui lança un regard plutôt méprisant et moqueur. La jeune fille, d'abord sûre d'elle, jeta un coup d'œil à son costume et se sentant misérable, elle sortit précipitamment de la chambre. Quand Brooklyn fut fin prête, elle sortit de la salle de bain et s'arrêta devant cette horde de jeunes filles. Avec un sourire malicieux, elle déclara :
-Alors, vous êtes prêtes ?!
Chacune se regardèrent une dernière fois et suivirent Shana, qui était le leader du groupe. Ce furent, avec surprise, les premières à arriver à l'endroit où se passer la fête. Le monde commençait à arriver par petit et grand groupe de personnes. Lorsque les jeunes filles rentrèrent, Shana découvrit une magnifique décoration. Le château était plutôt effrayant et la décoration allait parfaitement avec.
-Je sens qu'on va bien s'amuser.. fit celle-ci en se mordant la lèvre du bas.
En attendant que tout le monde arrive, elle se dirigea vers le "buffet" et prit un verre. C'est alors à ce moment là qu'elle trouva deux des auteurs de la fête : Keven Pryce et Lina Nickson. Elle s'approcha d'euxi et quand elle arriva à leur hauteur, arborant un beau sourire chaleureux, elle déclara :
-Belle décoration ! Je vous félicite !
|
| | | Aisleen S. MacKayla Date d'inscription : 28/08/2010 Écrits postés : 542 Citation : Some nights never end, some desires never die Mood : Losing my mind Année d'étude / Job : Septième Année
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 19:46 | |
| Everleigh : je te valide le don, attention cependant aux fautes quand tu écris des rps. X)
Brooklyn: je suis désolée, mais le don est fermé. :/ Il y a beaucoup d'animagus. X) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 19:53 | |
| Merci ♥ et pour les fautes c'est un vieux RP, j'essaye de faire plus attention maintenant ^^. |
| | | Hilaire Chadwick Date d'inscription : 30/11/2010 Écrits postés : 47 Citation : Les Dragées surprises de Bertie Crochue - prenez le risque à chaque bouchée ! Année d'étude / Job : AUROR. PROFESSEUR de métamorphose & DIRECTRICE des Griffondor.
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don Ven 3 Déc - 20:28 | |
| - Kayla L. Woodsen a écrit:
- Junalia : je valide pour le don! X)
Hilaire : j'aime beaucoup l'exemple de rp que tu as mis. Je valide donc le don! X)
Edwige : oui tu peux prendre le don de lycan, je te note dans la liste.
Et j'espère n'avoir oublié personne. '-' merci beaucoup miss |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Registres du Ministère et demandes de don | |
| |
| | | | Registres du Ministère et demandes de don | |
|
Page 1 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| | Forum ouvert depuis le 25 Novembre 2010 dans sa seconde version // Première version ouverte le 23 Octobre 2009 Design thème 1 © Chocolate Vodka // Forum optimisé sous Mozilla Vox Tenebrae est l'entière propriété de ses administrateurs. Toute copie totale ou partielle sera considérée comme du plagiat, et donnera lieu à une plainte. Merci de respecter notre travail.
| |